Il brave les étendue de l'Aubrac, s'aggripe au flan abrupte du col des pyrénéen, sert de guide pour indiquer la maison accueillante sur les sentiers occitan et béarnais...
Il est, enracinné dans nos terroirs, l'image de ces chemins qui les irriguent, trame que tissent les marcheurs avant de franchir les Pyrénées, dès lors les chemins n'en font plus qu'un : le "Camino Francès", véritable tronc de cet arbre qui plonge ses racines au terme du voyage, là où s'éleva l'étoile pour dire Compostelle.
Mais le pèlerin ira plus loin : aux confins de ces rochers qui défient l'étendue de la mer océane, au "Finis Terrae", là où, justement il ne pousse plus aucun arbre.
C'est alors seulement que dans son coeur grandira le souvenir de celui qui l'attend, là-bas, fidèle auprès de son jardin ...
Dans le secret de son âme un nouvel arbre vient de germer."
Texte affiché à l'église Saint-Pierre à Auvillar.
Je hebt duidelijk de microbe ferm te pakken. Jij gaat zeker nog terug, tot in Spanje, tot aan de Oceaan. Wij niet, wij beschouwen onze Reis als afgewerkt. Pelgrim af, op weg naar weer nieuwe horizonten. De Donau bijvoorbeeld of de Noordzeekustroute. Onze schelpen en compostelaten hangen in de hall, als getuigen van een grote Reis. Maar de volgende keer dat je op de Weg zult zijn, dan lezen we weer je blog en dan zal ons hart toch bloeden. De Camino is en blijft gewoonweg indrukwekkend. Buen Camino!
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